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mercredi, 02 août 2017

Claude Févre - Barjac m’en Chante 2017 – Lise Martin et Gauvain Sers divisent ou rassemblent ?

Avant d’en venir au trio qui ne cesse d’exercer sur nous son charme, sans que nous y puissions grand-chose – il en va ainsi de la force d’attraction d’un spectacle –  il nous semble nécessaire d’évoquer  quelques unes des questions qui courent dans notre monde de la chanson. Le matin même, Gauvain Sers invité à la rencontre de 11h moins 11, avait évoqué le public d’Antraigues, autre lieu emblématique s’il en est dans ce coin de France. Sa soudaine ascension lui vaut en effet d’accéder au public que l’on dit « grand » – mot où il faut sous- entendre la puissance de certains  médias, dits « grands »  eux aussi –  assez  ignorants d’ordinaire des chanteurs qui  nous émeuvent.

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Claude Févre - Barjac m’en Chante 2017 – Lise Martin et Gauvain Sers divisent ou rassemblent ?

Avant d’en venir au trio qui ne cesse d’exercer sur nous son charme, sans que nous y puissions grand-chose – il en va ainsi de la force d’attraction d’un spectacle –  il nous semble nécessaire d’évoquer  quelques unes des questions qui courent dans notre monde de la chanson. Le matin même, Gauvain Sers invité à la rencontre de 11h moins 11, avait évoqué le public d’Antraigues, autre lieu emblématique s’il en est dans ce coin de France. Sa soudaine ascension lui vaut en effet d’accéder au public que l’on dit « grand » – mot où il faut sous- entendre la puissance de certains  médias, dits « grands »  eux aussi –  assez  ignorants d’ordinaire des chanteurs qui  nous émeuvent.

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Le doigt - Georges Chelon

Le doigt - Georges Chelon

Nos Enchanteurs - Barjac 2017. Un Morel à toute épreuve

Inaugurer un nouveau Festival Barjac m’en chante avec les deux Morel, c’est comme participer à une dégustation de vins de pays où les vignerons se seraient amusés à remplir quelques-uns des flacons de Bourgueil ou de Saint-Pourçain avec de la Romanée-Conti et du Petrus. Parce que sous leurs airs faussement bonhommes et gouleyants, le Gégé et le François s’avèrent être, en réalité, de sacrées bêtes de compète et des nectars de première.

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Nos Enchanteurs - Barjac 2017. Un Morel à toute épreuve

Inaugurer un nouveau Festival Barjac m’en chante avec les deux Morel, c’est comme participer à une dégustation de vins de pays où les vignerons se seraient amusés à remplir quelques-uns des flacons de Bourgueil ou de Saint-Pourçain avec de la Romanée-Conti et du Petrus. Parce que sous leurs airs faussement bonhommes et gouleyants, le Gégé et le François s’avèrent être, en réalité, de sacrées bêtes de compète et des nectars de première.

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Barbara "Le mal de vivre"

Barbara "Le mal de vivre"

Claude Févre - Barjac m’en Chante 2017 – Avis de vent nouveau sous le chapiteau

Vous n’êtes pas sans savoir que les concerts de 17 heures sous le chapiteau de Barjac nécessitent une bonne dose de passion, voire carrément l’esprit de sacrifice tant la température y grimpe. On n’ose imaginer ce qu’il en est sur la scène…

Aujourd’hui il pourrait bien souffler un vent dont on cherche par avance  le qualificatif : contraire ou bienfaisant ? Les avis iront bon train, comme à chaque fois. Car chacun porte en soi sa définition de la Chanson, guidé par son histoire personnelle. Le spectateur assidu, exigeant de ce festival va-t-il se laisser porter, emporter vers des nouveaux rivages ?

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Claude Févre - Barjac m’en Chante 2017 – Avis de vent nouveau sous le chapiteau

Vous n’êtes pas sans savoir que les concerts de 17 heures sous le chapiteau de Barjac nécessitent une bonne dose de passion, voire carrément l’esprit de sacrifice tant la température y grimpe. On n’ose imaginer ce qu’il en est sur la scène…

Aujourd’hui il pourrait bien souffler un vent dont on cherche par avance  le qualificatif : contraire ou bienfaisant ? Les avis iront bon train, comme à chaque fois. Car chacun porte en soi sa définition de la Chanson, guidé par son histoire personnelle. Le spectateur assidu, exigeant de ce festival va-t-il se laisser porter, emporter vers des nouveaux rivages ?

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Accordéons-nous : l'interview de Florent Mothe, Zaza Fournier et Roland Romanelli